Fondée en 2010 par anne LECOURT SOUFFLET, anAI is une agence d’Architecture Intérieure & Design, spécialisée dans les projets résidentiels.
POURQUOI anAI?
Vous l’avez compris, je me prénomme Anne. Mon nom? J’ai choisi de ne pas mettre l’accent dessus car mon travail est dédié à votre lieu de vie et je souhaite créer un lieu à votre image, qui vous correspond. J’entends bien que vous me prénommiez et me confierez vos souhaits et attentes; en effet, je dois vous connaître vraiment pour concevoir votre projet et non le mien ou celui de quelqu’un d’autre.
MON PARCOURS
À 18 ans, bac D en poche (Mathématiques et Sciences de la Nature), comme beaucoup de jeunes, j’hésitais sur le chemin à prendre; mes envies d’alors étaient: l’artistique, le médical, la justice et les langues. Je me sentais perdue, ces domaines me semblant si différents et inconciliables.
Il m’a fallu attendre 30 ans pour réaliser qu’en fait, je les avais tous choisis:
- Sauver le Monde:
Ce qui m’attirait dans le médical était le fait d’aider les autres, les soulager, contribuer à les rendre plus heureux.
- Le rendre plus beau:
Il était clair alors que j’avais des aptitudes artistiques; je baignais dans l’Art depuis l’enfance, ma mère ayant une grande culture dans ce domaine. De musées en brocantes, de séances de cinéma aux retransmissions de défilés de mode, sans que je m’en rende compte, elle m’avait transmis le sens du beau, des harmonies colorées et de l’équilibre.
- Un monde plus juste:
Mon père, lui, avait été comptable dans sa jeunesse puis, plus tard, audit-interne ce qui le passionnait. De lui, je tiens ma rigueur, mon sens des responsabilités et de l’équité, la justice au sens large.
- Communiquer avec le monde:
À la maison, il y avait toujours de la musique et bien que réservée en société, j’étais très loquace avec mes proches. Il était donc logique que j’ai une certaine appétence et quelques facilités pour les langues étrangères et tout spécialement l’anglais.
Ce qui s’est passé ?
Je suis partie aux États-Unis, un an, pour prendre du recul et réfléchir sereinement et me suis inscrite à des cours de dessin, d’anglais et d’espagnol.
À mon retour sur Paris, j’ai réalisé que les langues seraient un « plus » quel que soit le métier que j’exercerai ; même conclusion pour mes valeurs (rigueur, équité, honnêteté, justice). Restaient le médical, en particulier la psychologie, et enfin l’artistique, un domaine qui offrait de nombreuses possibilités.
À cette étape, j’ai été aux portes ouvertes des Écoles d’Arts. Éblouie par les travaux des élèves de l’Atelier Met de Penninghen, renommée ensuite l’ESAG (École Supérieure des Arts Graphiques), j’ai tenté le concours d’entrée en première année et fus admise. De nombreux élèves ne passaient pas la première année ; je me suis accrochée, dormant peu et travaillant beaucoup, bref je ne lâchais rien.
À la fin de la deuxième année, il fallut s’orienter vers la section Arts Graphiques ou celle Architecture Intérieure et du Design. Je choisis la seconde solution et appris à connaître les matériaux, leurs mises en œuvre, les différents corps de métier du bâtiment, les prix et bien d’autres domaines encore.
Trois années d’études plus tard, après avoir été première de ma promotion (j’avais découvert en chemin être non seulement perfectionniste, mais aussi désireuse d’être aimée à travers mon travail ; à cette époque, mes « clients » étant mes professeurs, je me mettais en quatre pour les satisfaire et obtenir les meilleures notes !), le jury, composé de professionnels, me discerna mon diplôme avec la mention « Très Bien ».
Un de ces membres me proposa un travail dans son équipe de conception ; je l’acceptais avec plaisir.
Ma vie professionnelle avant anAI
Deux ans plus tard, j’intégrais une société spécialisée dans les centres commerciaux. Je travaillais en binôme avec une amie: nous avions mille idées à la minute et cette émulation me faisait oublier que ce domaine ne m’intéressait pas vraiment…
La société LOUIS VUITTON m’a ensuite débauchée et j’ai rejoint la Direction Magasins au sein de laquelle j’étais chargée des ouvertures et rénovations des boutiques de la marque en Europe. J’ai adoré ! Non seulement, j’avais plus de responsabilités, mais j’accédais à un univers qui me correspondait bien plus, celui du Luxe (et qui dit luxe dit qualité, souci du détail) et de la Mode (Prêt à porter, chaussures, sacs).
Après quelques années, une équipe en charge et deux enfants plus tard, le destin m’a conduit vers la Maison HERMÈS, où l’esprit familial et l’amour de l’artisanat, me convenait plus encore.
C’est à ce moment que mon époux, également architecte, intervint. Quand je travaillais pour le groupe LVMH, je lui avais fait rencontré le PDG d’une société anglaise d’Architecture spécialisée dans l’Exécution (par opposition à la Conception) et il avait fini par monter le bureau parisien de cette agence qui devint un groupe connue dans toute l’Europe dans son domaine. Ayant besoin de renforcer son équipe, il me proposa de le rejoindre. Il avait des responsabilités énormes et un emploi du temps de ministre, je suis devenue son second, le déchargeant d’une partie de la gestion de l’agence et du suivi financier.
La création de mon entreprise
Vers quarante ans, j’ai fait un premier bilan et réalisé que je m’étais éloignée du type de projets que je souhaitais vraiment faire: ceux pour les particuliers. Entrepreneuse dans l’âme, j’ai monté ma propre société en parallèle de mon travail de salariée; quelques années, plus tard, lorsque notre petite dernière est rentré au collège, toutes les planètes semblaient alignées pour que je me consacre exclusivement à mon entreprise. J’ai donc quitté mon travail pour me consacrer exclusivement à anAI.
POURQUOI CHOISIR anAI POUR MENER À BIEN VOTRE PROJET ?
Aujourd’hui, même si je dois gérer l’incertitude du lendemain, comme n’importe quel entrepreneur, je me sens à ma place ; j’ai réussi finalement à concilier tous les domaines qui m’intéressaient :
- Le médical, et plus particulièrement la psychologie : en ayant choisi de me consacrer exclusivement au résidentiel, mes clients sont des particuliers: j’utilise mes qualités d’écoute, de patience et un certain 6ème sens, pour les aider à accoucher de leur projet.
- L’Artistique, évidemment, avec la conception de ces projets ; j’utilise des compétences telles que l’imagination, le sens des proportions, des couleurs et de l’harmonie.
- La Justice, car, quand nécessaire, je suis une sorte d’avocat pour mes clients face aux entreprises; je suis aussi celle qui vérifie les devis et factures avant paiement, m’assure que la qualité et le planning convenus soient respectés. Ma rigueur me permet de créer des espaces fonctionnels, ce que je juge primordial, ainsi que de manager les chantiers avec efficacité.
- Et enfin, mon anglais me permet de communiquer aisément avec tous mes clients étrangers.
Durant toute ma mission, qu’elle soit complète ou partielle, c’est un peu comme si je portais votre projet, le peaufinais jusqu’à la toute fin. Ma satisfaction personnelle, au-delà de l’aspect financier qui me fait vivre comme tout un chacun, est que vous soyez vraiment enchanté du résultat. C’est ce qui me fait avancer au quotidien, malgré toutes les difficultés de ce métier qui évolue sans, tant dans les matériaux utilisés que les techniques de mise en œuvre.